L’endométriose, qui touche 1 million de femmes au Canada, met en moyenne 6,6 ans à se faire diagnostiquer, selon une récente recherche britannique. Ce retard n’est pas nouveau et il est dû à plusieurs enjeux, notamment le manque de médecins spécialisés et la tolérance de la société face aux douleurs des menstruations.
La question des délais est d’autant plus importante que plus on attend, plus la maladie s’aggrave, augmente le niveau de douleur et s’aggrave en touchant des organes voisins, commente la professeure au département d’obstétrique-gynécologie de l’Université de Montréal, Caroline Gauthier, qui n’a pas participé à la recherche.
Source et article complet : Endométriose, des délais pour un diagnostic – L’Express (journalexpress.ca)